11 juin

Suzuki san, 77 ans, consultant
Comme beaucoup de retraités, il est désormais vacataire dans une boîte en tant que « advisor » comme il me l’a montré sur sa carte. Il écoutait de la musique enka coréenne à fond dans ses écouteurs, musique qu’il m’a fait écouter. Mise à part la langue, je n’ai pas trouvé de différence avec le enka japonais. Il m’a dit qu’il écoutait ça en relation avec son boulot. Il se rendait à un rendez-vous avec un ami, pas très loin de laà où nous étions.

Cedric Riveau

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